This is the central site for a long-term project to research, examine, and respond to the radical collective of writers, theorists, architects, and visual artists who operated in Paris between 1829 and 1835 under the names of the Jeunes France & the Bouzingo, and through them to build a critical understanding of French Romanticist subculture through the historical lens of a continuing politically vigilant Anglophone avant-garde.

Anti-Translations & Responsive Work

Poems by John M. Bennett, assembled from vocabulary gathered up from both members of the Jeunes-France and living avant-gardists:




Jeter le Duct Tape

tempora loca qu’un enfant
jette sa baue cigarettes em
bodied pour un poëte aex
thetics apartments de la
scorie social centuries a
rejeté la sienne the salt
of noise un long essor il
tombe memory au jour
mapped horses ni cynique
the copies consume un cilice
ground beef leurs sonnets à
manchettes electromedia
panda et luxes pachaliques
wrapped in centers leurs
buandières blob boom dot
je n’ai jamais tambouriné
catastrophic bare skulls la
bourgeoisie de ma pauvreté
bonetexts platitude de cette
speech meat je donne ce
livre à toi masked riots
métagraboliser le nour
numl infin une populace
fictiotod la lycanthropie le
Missouri ersatz hinterlands
étranglé the bilateral col de
chemise the aubergine the
hotdogs les hommes tués

“...obsclips, ce livre, silver pipe,
tabac de Maryland!”  - L. E. Cynge


Found in Jim Leftwich,
Six Months Aint No Sentence, Book 23, 2012
& Pétrus Borel, Préface a Rhapsodies, 1831.





DISTIQUES
D‘APRÈS LE GASPARD DE LA NUIT
DE ALOYSIUS BERTRAND, 1845


          par John M. Bennett


Oeil et fétu, poule noir
j‘égorge une puce


Toits de mandoline
la fenêtre rouge

L‘ombre encendié
le trébuchet la tulipe

Lampion décharné
boite de l‘âne

Nul bruit nul poisson
corridor de l‘épine

Ventre de lazzi d‘éponge
la hache la ceinture

La viole cassée la bouche
salamandre de mon écritoire

L‘encre de Lulle livre de perruque
la mouche grillée de mon oeil

Vacarme des jambes
heure des bottes qui fument

Morfondu le rat de fer
araignée de l‘encendre des cochons


La fenêtre m‘etrangle mon ventre
un poisson de lumière

Hanche de violettes crépuscules
des barbes du pauvre derrière

L‘hautbois encorné le jambon
comment maligne?  la baguette

La foule s‘achemine a le pain
l‘église qui brûle dans la place d‘honneur

Les doigts d‘une maille ne tintait plus
la derrière des rats débaptisés

La terre les vitraux ma chambre morte
genou qui plonge a la blessure

Haleine du lac ma tarantule
jaune mon oreille de nuit pleuré

Eléphant de peau soleil de
muraille qui vague, ma cave

L‘ombre de papillon la larve
des clochers vagabondes

La larve de ma crinière
douces ladres de la langue

J‘ai dormi dans les flammes des
livres mués le clocher de ta voix

Le toit le forêt la cellule
la verve brisée la cendre des bras

L‘écume de ta fenêtre la
fluide d‘Ondine la robe qui nage

Salamandre morte, sourde comme
ta chanson jetée comme le fer

La chatte phosphorique les rocs
innombrables l‘écume en butte

Schup!  Schup!  Le gibet
sur l‘herbe la vigne laronne

Le bourgois gelé le givre des
dents les yeux de la langue

Tue!  Tue!  La clef de dormir
la porte schismatique la chair

Os des ténèbres un coq du
ventre des trois doigts trouvés

Les mains lourdes la source
lente j‘ai oublié la fin

Écho des pages tête de cloche
cheveux des cavernes disparus

Canicule, nuque de l‘autre
qui flotte sur le granit

Alguazil du cou la bouche et
cacher la tête dans le lac

Coffre d‘oreilles chair d‘oreilles
pluie d‘oreilles oreilles d‘oreilles

La bague la mouche les chocs
le brouhaha du silence

Polenta a l‘oeil miroir
éphémère du visage

Brumes des chroniques
coq enflammé, écho des oeufs

Cendres et colombes yeux
des mortes et du chaos radieux

Le fou écrit une fenêtre
frappe son livre sur le lac


La main, la barque plus vomie
le perfume de la plume de cimetière

Le lit de la biche etoilée
haleine de la fenêtre mourante

Vapeurs de lendemain, être
qui ne songe plus de ce voyage

Les lèvres fermés l‘air
paralytique le cheval étranglé

Fossés pleins de bruit l‘écho
de la main les loups du coeur oublié

L‘eau en branle la carcasse
d‘un oeil un chien flotant

Le livre tombé le poète symbolique
le corps diaphane du journaliste



John M. Bennett
28 de juin de 2011



*      *      *

An initial exercise for the Kohoutenberg Institute's parallel Bouzingo translation project: Petrus Borel's Isolement, translated via google from French to Croatian to Catalan to Danish to French to English again, The dedication is to fellow Bouzingo Gérard Nerval:


Insulation

Gerard, poet

General forest restoration
Osama in the valleys
Clos d'Effroy all!

         Ronsard

Under the scorching sun in beautiful rural Creole
How bamboo bow African English,
Towards Hurricane withers Palm
In the hands of wine in units of dense forest.

In our old tree, mistletoe, parasitic St.
The return of oaks and feel and dream;
The combination of grass suffer a kind of fragile and
Trunk monasteries in southerly winds.

GUI! Liane! cake! would my soul!
My heart, like ivy and the cover.
Ford spent a little of this life
Wonder Woman, the support friend!

- Angel on Earth? ... Flower, a woman? ...
Bard, and just chose this playful swarm
Rondo rounded meal instead. --
No, my heart to a heart that understands his soul.

This is not theater, festivals, daughter
Who can lay life is happiness:
This field at night, wrapped in shawl,
Werther hand fainting.

It is a brunette with dark eyelashes, air Moorish;
It is a lazy goose, blue-eyed Ondine
Also a large almond and death, anxiety,
As noted in Germanic coast.

When this magic? - When my voice call? --
Bring spring in my heart, I do.
But even he would be faithful to Cypress!
On the beach when I'm alone?

Sparrow in my ceiling of the room with his girlfriend;
My mare had a foal love.
Let me in this forum and others accompanying
The torrent of fire, I did spend my days.